Mylène

J'ai dix-neuf ans, je suis de Rouen. J'aime bien ce site. Voulez-vous que je vous raconte ma "première fois ? Ca s'est passé au lycée, à la pause de midi. J'étais décidée, et j'ai jeté mon dévolu sur Abdel un jour où l'on s'est retrouvés seuls dans la classe. Ce gars était gentil, doux, drôle, pas mal fait... bref, puisqu'il fallait le perdre un jour, me suis-je dit, pourquoi pas avec lui maintenant ? Je me suis rapprochée de lui, genre câline, et l'on a parlé. J'étais habillée mignonne et, franchement, je devais être tentante ! On est restés comme ça un moment, mais Abdel n'entreprenait rien. J'ai réalisé que ce serait à moi de faire le premier geste. Je lui ai donc posé un bibi sur les lèvres. Surpris, il m'a embrassée. Il m'a même caressé les seins, au-dessus du corsage, gentiment, mais sans ardeur. Il était comme empêtré, mal à l'aise. On aurait dit un puceau ! Sans doute était-il en "petite forme" ? Tant pis : il fallait que ça se fasse !

 

Il n'y avait jamais personne dans les classes à midi. On avait le temps. "Déshabille-toi..." lui ai-je chuchoté. Et moi-même, j'ai commencé à m'effeuiller : le corsage, le soutien... J'en étais là, quand Abdel a baissé son slip. Surprise : il ne bandait pas ! Son sexe pendouillait riquiqui. Je le lui ai pris entre le pouce et l'index et l'ai secoué en tous sens, en tâchant de ne pas lui faire mal. Ca l'a fait grossir. Le truc s'est levé tout seul. C'était curieux à voir. A la fin, son sexe était fort gonflé. Le bout était rose et sans peau : Abdel m'a dit qu'il était circoncis. Il m'excitait vraiment ce type. Vite, j'ai glissé bas mon jean, pour me retrouver toute nue. Il s'est assis et je me suis placée à califourchon sur lui. Mauvais plan ! Il stressait en diable. "Tu n'aimes pas baiser, alors ?" lui ai-je demandé. "Si, si... au contraire !" s'est-il défendu. "C'est parce que je suis vierge ? Tu as peur ?"...et sans attendre qu'il réponde, je me suis empalée. Ca m'a fait mal. A lui aussi. On est restés comme ça lui dans moi et c'est devenu meilleur.

 

Je faisais coulisser le sexe d'Abdel dans mon ventre à mon rythme par des flexions de jambes. Je sentais que ça venait bien. Abdel sourait. Ce n'était pas très romantique mais je ne cherchais pas l'amour. Ce que je voulais, c'était baiser, découvrir ça. En tout cas, ça me plaisait. J'ai fait mes pompes un bon moment, mais sans jouir vraiment. C'était trop nouveau pour moi. Et puis, je me suis mise sur le dos, allongée sur une table, les jambes pliées, ramenées vers la tête, et j'ai appelé Abdel. Je voulais le sentir contre mon derrière. Il m'a pénétrée la minette sans problème. C'était déjà ma deuxième fois ! Il faisait ça  tranquillement. Je ne semblais pas le décevoir, malgré toutes les filles qu'il avait dû déjà avoir, sans doute plus belles et, bien sûr, plus expérimentées. A ce moment, j'ai joui. Ca a commencé petit et puis, ça a grandi dans mon ventre. J'ai eu honte, mais ça a repris tout de suite après, je ne pouvais pas le cacher ! Je ne savais plus trop où j'étais. C'était bon, encore meilleur quand le sexe d'Abdel s'est raidi à tout défoncer, avant de fondre littéralement. Abdel a retiré son sexe et s'est rhabillé rapidement. Il m'a dit que j'étais une sacrée baiseuse, qu'au début il n'avait pas été tenté mais que j'étais un vrai bon coup. Et moi, j'étais fière et contente d'être devenue une fille enfin comme les autres.

 

Mylène

 

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