Je m'appelle Nadia

Bonjour, je m'appelle Nadia, j'ai vingt ans et demi et j'habite Seclin, dans le Nord (près de Lille). Je voudrais vous raconter ce qui m'est arrivé samedi dernier. J'espère que mon expérience intéressera vos lecteurs et surtout vos lectrices. Il faut d'abord que je vous dise que ça fait des années que je meurs d'envie d'avoir des relations, mais à l'âge de la majorité - ça paraît incroyable - je suis toujours vierge. Ce sont mes seins qui me gênent : je les trouve trop gros. C'est bête sans doute, mais je trouve qu'ils me donnent l'air "pute". Il y a plein de copains qui me tournent autour, mais j'ai tout de suite l'impression que c'est pour me sauter, n'importe où, n'importe comment. Ca me donne la migraine. Est-ce que je suis romantique ou carrément conne ? En tout cas, j'ai toujours refusé de passer à la casserole...

 

Ce week-end, j'ai dormi chez un oncle et une tante, dans le Pas-de-Calais. Ils habitent une petite maison à Lens. Ils ont un fils qui a presque le même âge que moi, qui est donc mon cousin. Je m'entends bien avec lui. Il s'appelle Eric. Quand je me suis couchée le soir, Eric est passé dans ma chambre me souhaiter bonne nuit. On a parlé de choses et d'autres. Mais au bout d'un moment, je me suis sentie mal à l'aise. Il avait dû mater mes nichons pendant la journée (tout le monde le fait) et il était là pour essayer me sauter, forcément, vu l'âge qu'il avait maintenant. J'ai attrapé mal au crâne. Je me suis réfugiée sous la couette et je lui dit que j'allais devoir le mettre à la porte.

 

A ma surprise, Eric s'est approché de moi, véritablement inquiet : "Tu es toute pâle, tu es sûre que tu ne veux pas que je reste ?". Il semblait sincère, j'ai répondu : "Si tu sais comment me débarrasser de cette satanée migraine, d'accord..." Et là, toujours à ma surprise, il a baissé la couette : "Désolé, mais pour te guérir, il faut établir un diagnostic". Il m'a touché les épaules, les bras, le ventre : "Tu es toute chaude, laisse-toi faire..." Ses mains me parcouraient le corps, mais elles évitaient soigneusement les endroits équivoques. Etait-il sérieux, était-ce un jeu ? Je ne portais sur moi qu'un soutien et une culotte. Bien sûr, mes gros seins qui remplissaient le soutien me faisaient honte. J'étais certaine qu'Eric allait y foutre les pattes dessus....

 

"Ote ta culotte", m'a-t-il dit gentiment. J'étais interloquée. Pourquoi m'ôter la culotte ? Comme s'il lisait dans mes pensées, il expliqua : "Il n'y a rien d'anormal plus haut, c'est dans le bas-ventre que ça se passe, il faut que je regarde". Sans rien comprendre, je me suis déculottée devant lui. J'étais assise sur le lit. J'ai regardé entre mes jambes pliées : j'avais le bas tout nu ! C'était normal (puisque je m'étais déculottée) pourtant, ça m'étonnait... Eric a posé la main sur mon sexe. Jamais aucun garçon ne m'avait fait ça avant. Sa main était chaude et tremblante : "C'est là ?" a-t-il demandé, vraiment pas sûr de lui. J'ai guidé ses doigts légèrement dessous : "C'est plutôt là...". Eric était attentif et doux. J'ai senti un plaisir incroyable qui me venait. Ma main n'a plus quitté la sienne et, toutes les deux, elles m'ont fait jouir.

 

A ce moment, j'ai ressenti la nécessité d'être pénétrée, de sentir le corps d'Eric à l'intérieur. J'ai saisi son index et me le suis introduit, lentement, bien à fond. Puis j'y ai mis le majeur, puis l'annulaire puis c'est son poing tout entier qui m'a distendue et remplie. Eric semblait dans un autre monde et moi, et bien moi : je jouissais, je jouissais salement même. J'aurais voulu que ça dure éternellement. Mais je n'ai pas pu, après une contraction encore plus forte que les autres, je me suis abattue mollement sur la couche. Eric m'a demandé : "Tu as encore mal à la tête?" La douleur avait disparu, mais j'étais épuisée. Je me suis endormie heureuse, avec le matelas de mon oncle et ma tante tout maculé sous moi.

 

Nadia qui vous aime.

 

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